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Livre 1 |
BRITANNICUS
Résumé
Comment devient-on un tyran sanguinaire ? C’est l’intrigue de Britannicus, où Racine montre, en 1669, la prise de pouvoir de Néron. Ce « monstre naissant », sous le joug d’Agrippine, mère possessive, et d’un mauvais conseiller, le traître Narcisse, va laver l’affront d’un amour sans retour dans le chantage, l’enlèvement et le meurtre. En quelques minutes, Racine nous fait assister au spectacle de l’avènement, à Rome, de la barbarie.
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RACINE JEAN |
1971 |
THEATRE |
05 2003 |
485 |
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Livre 1 |
PHÈDRE
Résumé
En 1677, Phèdre, la dernière grande tragédie de Racine, met en scène la mythique descente aux enfers d'une incomprise. Vouée au malheur par son hérédité, Phèdre aime sans espoir son beau-fils Hippolyte. Lorsque son mari, Thésée, revient, il envoie injustement son fils à la mort. On assiste alors à l'empoisonnement d'une femme à la fois innocente et coupable. Ironie tragique qui démontre à quel point l'amour peut se vivre comme une malédiction.
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RACINE JEAN |
1971 |
THEATRE |
05 2003 |
499 |
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Livre 1 |
ANDROMAQUE
Résumé
Dans un monde traumatisé par la guerre de Troie et ses séquelles, Andromaque, la survivante, voudrait se vouer à son deuil et au souvenir d’Hector qui revit dans leur fils Astyanax, dernier héritier de la famille royale troyenne. Pyrrhus, qui les retient prisonniers aime Andromaque. Livrera-t-il l’enfant à Oreste envoyé des Grecs qui réclament sa tête ?
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RACINE JEAN |
2000 |
THEATRE |
05 2003 |
521 |
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Livre 1 |
RICHARD III
Résumé
Shakespeare a écrit un des drames les plus propres à séduire les hommes d'aujourd'hui, comme ceux de son époque, un de ceux où lecteurs et spectateurs croient toujours retrouver l'écho de leurs propres incertitudes, de leurs propres inquiétudes, de leur propre désespoir. Les incidents en sont violents, certes, et il y a tant de morts à la fin que la scène est jonchée de cadavres. Cependant, le drame le plus intense est celui qui se joue dans l'âme d'Hamlet. Rêveur, épris de philosophie, il est soudain mis en face d'un devoir qui lui répugne, sans même être tout à fait sûr que les révélations du fantôme de son père qui l'exhorte à la vengeance ne sont pas une ruse du Prince des Ténèbres. Quand il est certain de la culpabilité du roi, il se résout à obéir à son père, mais avec quels atermoiements, quelles hésitations, quels scrupules !
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SHAKESPEARE WILLIAM |
1979 |
THEATRE |
05 2003 |
504 |
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Livre 1 |
TITUS ANDRONICUS
Résumé
Fruit du colloque international tenu à l'Université de Tours en novembre 2006 sous les auspices de la Société Française Shakespeare, manifestation destinée surtout aux étudiants des Concours d'anglais, ce volume se veut une contribution plus que ponctuelle aux études shakespeariennes. Ses treize articles, dont celui de R. Brian Parker, éditeur scientifique de Coriolan pour la série The Oxford Shakespeare, témoignent par la diversité de leurs approches de l'intérêt et des débats que continue à susciter cette dernière des tragédies de Shakespeare, ouvre à la fois intellectuellement stimulante, poétiquement riche, politiquement provocatrice et théâtralement puissante.
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SHAKESPEARE WILLIAM |
1965 |
THEATRE |
05 2003 |
524 |
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Livre 1 |
OTHELLO
Résumé
Par l'univers ! Je crois que ma femme est honnête et crois qu'elle ne l'est pas ; je crois que tu es probe et crois que tu ne l'es pas ; je veux avoir quelque preuve. Son nom, qui était pur comme le visage de Diane, est maintenant terni et noir comme ma face... ! S'il y a encore des cordes ou des couteaux, des poisons ou du feu ou des flots suffocants, je n'endurerai pas cela ! Oh ! avoir la certitude ! "
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SHAKESPEARE WILLIAM |
1964 |
THEATRE |
05 2003 |
581 |
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Livre 1 |
HUIS CLOS
Résumé
Garcin, révolutionnaire lâche et mari cruel : douze balles dans la peau ; Inès, femme démoniaque qui rendra folle de douleur sa jeune amante : asphyxie par le gaz ; Estelle, coquette sans cœur qui noie son enfant adultérin : pneumonie fulgurante. Morts, tous les trois. Mais le plus dur reste à faire. Ils ne se connaissent pas, et pourtant, ils se retrouvent dans un hideux salon dont on ne part jamais. Ils ont l'éternité pour faire connaissance : quelques heures leur suffiront pour comprendre qu'ils sont leurs bourreaux respectifs. "L'enfer, c'est les autres." Tous les thèmes sartriens sont là, orchestrés avec brio : la valeur de l'engagement, le poids des actes, les limites de la responsabilité. Avec Huis clos, le grand prêtre de l'existentialisme signait l'une des ses pièces les plus fortes : la scène se prêtait bien à ces réquisitoires concis et percutants, que l'on retrouvera dans Les Mouches et surtout Les Mains sales.
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SARTRE JEAN-PAUL |
1991 |
THEATRE |
05 2003 |
553 |
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Livre 1 |
THÉÂTRE COMPLET - T 2 (CERISAIE (LA))
Résumé
SONIA : Qu'y faire! Nous devons vivre. (Un temps). Nous allons vivre, oncle Vania. Passer une longue suite de jours, de soirées interminables, supporter patiemment les épreuves que le sort nous réserve. Nous travaillerons pour les autres, maintenant et jusqu'à la mort, sans connaître de repos, et quand notre heure viendra, nous partirons sans murmure, et nous dirons dans l'autre monde que nous avons souffert, que nous avons été malheureux, et Dieu aura pitié de nous... Et nous nous reposerons. (Oncle Vania, acte IV) "Ce modeste médecin à pince-nez, qui ne croyait ni à Dieu ni à Diable, a cru tous le jours de sa vie que "l'homme est l'avenir de l'homme"
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TCHEKHOV ANTON |
1996 |
THEATRE |
05 2003 |
475 |
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Livre 1 |
THÉÂRTRE COMPLET - T 1 (MOUETTE (LA))
Résumé
L'atmosphère est morbide : les fleurs sont piétinées à peine offertes, Treplev tue une mouette pour la déposer aux pieds de Nina... Mais l'oisiveté des personnages ne saurait être la seule cause de ce malaise. C'est l'été, et comme tous les étés, on se retrouve dans la propriété de Sorine. Seul personnage véritablement sympathique, il n'échappe pourtant pas à la règle : les acteurs de ce drame de l'indécision et de l'inachèvement sont des personnages stéréotypés, s'exprimant au moyen de clichés galvaudés et vide de sens. Pièce sans héros véritable, sans action spectaculaire, La Mouette est un chef-d'oeuvre de l'implicite, et l'on est tenté d'accorder une portée symbolique au moindre détail. Or, si la mouette peut bien sûr être comprise comme un symbole de liberté, elle peut aussi être appréciée pour sa valeur dramatique, maillon de tout un réseau d'échos que Tchékov met en place pour figurer l'enfermement, qui culmine dans le rétrécissement du lieu de l'action. Le théâtre en plein air même ne saurait constituer une ouverture, illusion factice qui tombe en lambeaux sur les bords d'un lac stagnant ajoutant encore à l'étouffement par son simple pouvoir de réflexion.
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TCHEKHOV ANTON |
1973 |
THEATRE |
12 1992 |
458 |
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Livre 1 |
REGAIN
Résumé
Oui, ils sont gentils...Seulement, comme j'ai pas une instruction extraordinaire, je serai jamais beaucoup plus que maintenant...Et puis, maintenant dans les villes, ça devient impossible. Ils font tous de la politique. Royaliste, syndicaliste, socialiste, communiste, radicaliste, ils veulent tous t'embrigader par force contre quelque chose. Et avec ça, tout le temps obéir à quelqu'un, à quelque chose : le percepteur, les gendarmes, le règlement, la loi, la morale et le chef de gare...Té, mi fan caga. Je ne sais pas si c'est que j'ai mauvais caractère, mais d'obéir tout le temps, ça m'occupe trop. Alors si la terre d'ici pouvait me nourrir, moi et mes petits.
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PAGNOL MARCEL |
1989 |
THEATRE |
05 2003 |
573 |
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Livre 1 |
IPHIGÉNIE
Résumé
Iphigénie est innocente et vertueuse ; c'est pourtant elle que son père doit se résoudre à sacrifier. Iphigénie incarne la douceur et la tendresse ; c'est pourtant elle qui est au centre du déchaînement des fureurs familiales. Iphigénie exalte le dévouement et l'abnégation jusqu'au sublime ; c'est pourtant elle qui subit les lâchetés et les excès dévastateurs. Tels sont les tragiques paradoxes d'Iphigénie, où l'oracle divin ne semble rien d'autre que le révélateur des passions des hommes.
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RACINE JEAN |
1970 |
THEATRE |
07 1993 |
530 |
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Livre 1 |
L'ÉCOLE DES FEMMES
Résumé
De conception traditionnelle, cette collection a le mérite d'aborder l'œuvre intégrale sous des angles diversifiés. Outre le résumé détaillé des différentes parties et les commentaires composés qui le complètent, chaque ouvrage propose une synthèse littéraire assez riche : il y est question de l'auteur, des personnages, de la genèse et de l'architecture de l'œuvre mais aussi de ses particularités stylistiques, des réseaux d'intertextualité et des interprétations possibles. Par ailleurs, les documents situés en annexe offrent à l'élève la possibilité de se repérer rapidement dans l'œuvre : le lexique, l'index thématique et les citations retenues lui permettent de traiter aisément les sujets de dissertation et d'entretien oral. C'est donc une première approche qui a pour but de familiariser le lecteur avec l'œuvre en question. Elle lui en donne une vision synthétique et lui suggère des pistes de lecture pour l'analyse. À l'inverse, la bibliographie finale invite à enrichir ses connaissances au moyen d'études plus approfondies. Claire Mazurel
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MOLIERE |
1986 |
THEATRE |
12 1994 |
487 |
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Livre 1 |
TARTUFFE
Résumé
Une famille est dechiree; sous le masque d'une religion austere, un intrus s'est installe, a conquis Orgon, le maitre de maison, et seme le desordre : il courtise en secret la femme de son hote, convoite sa fille et ses biens. Et Orgon n'y voit que du feu... sacre ! En 1664, Moliere montre, dans le Tartuffe, les dangers de l'imposture et de l'aveuglement. Deux fois interdite a l'epoque, sa piece est plus que jamais d'actualite. Et si le rire restait le meilleur moyen de combattre le fanatisme ?
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MOLIERE |
1999 |
THEATRE |
09 1994 |
492 |
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Livre 1 |
LE CID
Résumé
De conception traditionnelle, cette collection a le mérite d'aborder l'œuvre intégrale sous des angles diversifiés. Outre le résumé détaillé des différentes parties et les commentaires composés qui le complètent, chaque ouvrage propose une synthèse littéraire assez riche : il y est question de l'auteur, des personnages, de la genèse et de l'architecture de l'œuvre mais aussi de ses particularités stylistiques, des réseaux d'intertextualité et des interprétations possibles. Par ailleurs, les documents situés en annexe offrent à l'élève la possibilité de se repérer rapidement dans l'œuvre : le lexique, l'index thématique et les citations retenues lui permettent de traiter aisément les sujets de dissertation et d'entretien oral. C'est donc une première approche qui a pour but de familiariser le lecteur avec l'œuvre en question. Elle lui en donne une vision synthétique et lui suggère des pistes de lecture pour l'analyse. À l'inverse, la bibliographie finale invite à enrichir ses connaissances au moyen d'études plus approfondies. --Claire Mazurel
Don Rodrigue a "du coeur" et nul n'en peut douter. Noble, vaillant, sans égal, sans rival, il possède toutes les qualités du héros classique. Mais il en a aussi tous les tourments. Don Diègue, son père, a été humilié par celui de Chimène, sa bien-aimée, et c'est à lui de laver cet outrage. Faut-il "mourir sans offenser Chimène" ou se venger et la perdre ? Doit-il préférer le devoir à la passion ? Cruel dilemme, auquel Chimène sera, à son tour, confrontée. La grandeur d'âme des personnages fait la beauté et la force du Cid, cette pièce hésitant entre deux genres, que l'
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CORNEILLE PIERRE |
2001 |
THEATRE |
05 1991 |
493 |
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Livre 1 |
LE MENTEUR
Résumé
Le menteur, la comédie savoureuse sur le mensonge du théâtre français classique. Une comédie qui recourt à toute la panoplie des procédés comiques existants tout en respectant les règles du théâtre classique, avant d'étudier le thème du mensonge et les quiproquos qui s'enchainent d'un bout à l'autre de la pièce.
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CORNEILLE PIERRE |
1964 |
THEATRE |
11 1994 |
508 |
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Livre 1 |
POLYEUCTE
Résumé
Polyeucte vivait en l'année 250, sous l'empereur Décius. Il était arménien, ami de Néarque, et gendre de Félix, qui avait la commission de l'empereur pour faire exécuter ses édits contre les chrétiens. Cet ami l'ayant résolu à se faire chrétien, il déchira ces édits qu'on publiait, arracha les idoles des mains de ceux qui les portaient sur les autels pour les adorer, les brisa contre terre, résista aux larmes de sa femme Pauline, que Félix employa auprès de lui pour le ramener à leur culte, et perdit la vie par l'ordre de son beau-père, sans autre baptême que celui de son sang. Voilà ce que m'a prêté l'histoire ; le reste est de mon invention. A mon gré je n'ai point fait de pièce où l'ordre du théâtre soit plus beau, et l'enchaînement des scènes mieux ménagé. Les tendresses de l'amour humain y font un si agréable mélange avec la fermeté du divin, que sa représentation satisfait tout ensemble les dévots et les gens de monde.
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CORNEILLE PIERRE |
2002 |
THEATRE |
09 1994 |
506 |
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Livre 1 |
LE BOURGEOIS GENTILHOMME
Résumé
Lorsque Moliere fait jouer pour la première fois Le Bourgeois gentilhomme a Chambord en 1670 devant le Roi et la cour, Monsieur Jourdain n'est pas seulement un père qui entrave les projets de mariage de sa fille. Car, bien au-delà de cette histoire d'amour traditionnelle, la comédie-ballet se déploie en un grand spectacle avec danses et musique, ou le comique et la satire prennent constamment pour cible le bourgeois qui s'est mis en tête de devenir gentilhomme et finit en mamamouchi ridicule. Héros de l'illusion comme Tartuffe, monomane comme Harpagon, rien ne peut l'arracher à sa folie de noblesse.
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MOLIERE |
1985 |
THEATRE |
07 2003 |
516 |
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Livre 1 |
LES FEMMES SAVANTES
Résumé
"Il n'est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, qu'une femme étudie et sache tant de choses." Chrysale est au désespoir face à l'attitude des femmes de sa maison. Flattées par le pédant Trissotin, celles-ci se piquent de grammaire et de philosophie, délaissent le bon sens au profit des bons mots... Les femmes peuvent-elles se mêler de sciences et prétendre à l'érudition? La pédanterie est-elle ennemie du bonheur? En cette fin du XVIIe siècle, la polémique va bon train, et Molière choisit son camp: celui de la comédie.
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MOLIERE |
1992 |
THEATRE |
07 2003 |
564 |
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Livre 1 |
LE MÉDECIN MALGRÉ LUI
Résumé
Sganarelle, le faiseur de fagots, est dans de beaux draps : voici que par une ruse vengeresse, sa femme le fait passer pour médecin. Le vieux Géronte, qui l'a fait mander pour guérir sa fille, semble perplexe face aux explications de ce docteur peu orthodoxe : "Géronte - On ne peut pas mieux raisonner, sans doute. Il n'y a qu'une seule chose qui m'a choqué : c'est l'endroit du foie et du cœur. Il me semble que vous les placez autrement qu'ils ne sont; que le cœur est du côté gauche, et le foie du côté droit. Sganarelle - Oui, cela était autrefois ainsi; mais nous avons changé tout cela, et nous faisons maintenant la médecine d'une méthode toute nouvelle." Les cocasseries perpétuelles de Sganarelle et son charabia scientifique suffisent à tromper la crédulité de la patiente et de son entourage, pour notre plus grand bonheur. Et, pour comble de l'ironie, le faux médecin a affaire à une fausse malade...
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MOLIERE |
1971 |
THEATRE |
07 2003 |
490 |
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Livre 1 |
L'AVARE
Résumé
Un ouvrage de la collection de référence des petits classiques : les Classiques Hachette. Le texte est complété par des informations sur l'auteur et un appareil critique détaillé : analyse thématique de l'oeuvre, biographie, contexte historique... Particulièrement adapté à l'étude de l'oeuvre dans le cadre scolaire, cet ouvrage est recommandé par les enseignants.
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MOLIERE |
1992 |
THEATRE |
07 2003 |
505 |