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De la bonne volonté à revendre mais une malchance chronique. Voilà bien comment définir au mieux l'Agent 212, simple membre des forces de l'ordre et gaffeur au possible...

Rondouillard, naïf et sympathique, l'Agent 212 est la cible de tous les ennuis et de toutes les mésaventures auxquels un agent de police peut se trouver exposé. Délinquants, conducteurs imprudents ou suicidaires obstinés se succèdent, pour la plus grande joie des lecteurs et de ses auteurs, Kox et Cauvin.

Rondouillard, naïf et sympathique, l'Agent 212 est la cible de tous les ennuis et de toutes les mésaventures auxquels un agent de police peut se trouver exposé. Délinquants, conducteurs imprudents ou suicidaires obstinés se succèdent, pour la plus grande joie des lecteurs et de ses auteurs, Kox et Cauvin.

Rondouillard, naïf et sympathique, l'Agent 212 est la cible de tous les ennuis et de toutes les mésaventures auxquels un agent de police peut se trouver exposé. Délinquants, conducteurs imprudents ou suicidaires obstinés se succèdent, pour la plus grande joie des lecteurs et de ses auteurs, Kox et Cauvin.

Dormez en paix, contribuables !Depuis qu'il est apparu, la loi et l'ordre n'ont jamais été aussi bien défendus... La loi des catastrophes en série et l'ordre des gags bien sûr. L'Agent 212 est là pour veiller à votre sécurité. Avec lui, il ne peut rien vous arriver... ...de normal. Dans ses mains, une simple balançoire se transforme en engin de mort et le moindre contrevenant risque à tout moment de finir à l'hôpital (s'il a de la chance). S'il vient vous sauver d'une inondation, vous y perdrez votre maison. S'il règle la circulation, vous passerez des heures dans un embouteillage monstre... Un poulet qui file la chair de poule.??

Entre ma maîtresse, mon pépé, mon papa et mon copain Christian, je suis bien entouré dans la vie ! Et puis, il y a Chéri, ma petite porcelaine chinoise... Mais quand même, on peut dire que les choses ne sont pas si simples quand on a huit ans.

Sa mission : faire régner l'ordre ! Une série humoristique qui se présente sous forme de gags en une planche. Alors lisez et circulez...

Un CRS héros de BD, c'est une grande première. Eugène Lacrymo a 25 ans de métier, c'est-à-dire qu'entre autres castagnes glorieuses, il a fait 68 et en conçoit une certaine nostalgie. Au moins, les choses étaient claires : il y avait les gauchistes et les anars. Maintenant, le panel s'est élargi. Remarquez, ça lui permet de faire des comparaisons : par exemple, sur le plan coriacité, les métallurgistes ne valent pas les sidérurgistes lorrains. Mai 68, ce n'est pas seulement les manifs, c'est son mariage avec Simone - 25 ans de fidélité - et la conception, entre deux barricades, d'un fiston baptisé Gédéon. Eugène Lacrymo aime son métier. Il lui arrive de courser les manifestants jusque sur leur lit d'hôpital, et s'il donne une carte de séjour à un immigré, ce n'est que dans un cauchemar dû à l'abus de chipolatas. Le reste du temps, il empile les bavures. Une parodie complètement délirante qui fera plaisir à tous ceux qui ont un jour assisté à une manif - de près, de plus loin,

Un CRS héros de BD, c'est une grande première. Eugène Lacrymo a 25 ans de métier, c'est-à-dire qu'entre autres castagnes glorieuses, il a fait 68 et en conçoit une certaine nostalgie. Au moins, les choses étaient claires : il y avait les gauchistes et les anars. Maintenant, le panel s'est élargi. Remarquez, ça lui permet de faire des comparaisons : par exemple, sur le plan coriacité, les métallurgistes ne valent pas les sidérurgistes lorrains. Mai 68, ce n'est pas seulement les manifs, c'est son mariage avec Simone - 25 ans de fidélité - et la conception, entre deux barricades, d'un fiston baptisé Gédéon. Eugène Lacrymo aime son métier. Il lui arrive de courser les manifestants jusque sur leur lit d'hôpital, et s'il donne une carte de séjour à un immigré, ce n'est que dans un cauchemar dû à l'abus de chipolatas. Le reste du temps, il empile les bavures. Une parodie complètement délirante qui fera plaisir à tous ceux qui ont un jour assisté à une manif - de près, de plus loin,

Un CRS héros de BD, c'est une grande première. Eugène Lacrymo a 25 ans de métier, c'est-à-dire qu'entre autres castagnes glorieuses, il a fait 68 et en conçoit une certaine nostalgie. Au moins, les choses étaient claires : il y avait les gauchistes et les anars. Maintenant, le panel s'est élargi. Remarquez, ça lui permet de faire des comparaisons : par exemple, sur le plan coriacité, les métallurgistes ne valent pas les sidérurgistes lorrains. Mai 68, ce n'est pas seulement les manifs, c'est son mariage avec Simone - 25 ans de fidélité - et la conception, entre deux barricades, d'un fiston baptisé Gédéon. Eugène Lacrymo aime son métier. Il lui arrive de courser les manifestants jusque sur leur lit d'hôpital, et s'il donne une carte de séjour à un immigré, ce n'est que dans un cauchemar dû à l'abus de chipolatas. Le reste du temps, il empile les bavures. Une parodie complètement délirante qui fera plaisir à tous ceux qui ont un jour assisté à une manif - de près, de plus loin,

Eugœne Lacrymo et ses amis C.R.S sont de retour dans une série de gags inspirés par la société contemporaine.

Sa mission : faire régner l'ordre ! Une série humoristique qui se présente sous forme de gags en une planche. Alors lisez et circulez...

Saviez-vous que Tarzan pouvait avoir des soucis de santé ? Non, bien sûr, on a du mal à se l'imaginer fragile l'Homme de la Jungle ! ...et pourtant, c'est bien lui que l'on retrouve à l'hôpital... lui et quelques autres personnalités vont donner du fil à retordre à cet hôpital pas comme les autres...

L'hôpital tel que vous ne l'avez jamais vu, avec un regard particulier sur les infirmières. Au fil des gags, les auteurs nous proposent de découvrir des tranches de vie de cette profession, ainsi que les relations qu'entretiennent les infirmières avec les médecins et les patients. Encore un volume qui permet de découvrir avec humour la face cachée du monde hospitalier.

Ce best of de Pierre Tombal est vraiment bon. On y retrouve bien évidemment les meilleurs gags de notre fossoyeur préféré. On est toujours dans cet univers assez spécial du cimetière où l'on côtoie des morts mais aussi le personnage de la Mort. On peut dire que Pierre Tombal ne s'y ennuie jamais que ce soit avec les défunts qui n'en font qu'à leur tête ou avec les visiteurs qui ont parfois de drôles de réactions. Le premier gag est très marrant. On se retrouve au XVIIIe congrès des fossoyeurs où l'on découvre les différentes façons de terminer sa vie à travers le monde. Les remarques sont terribles. Ensuite, les autres gags sont un peu plus courts mais tout aussi bons. En résumé, c'est un excellent album que je conseille à toutes celles et ceux qui veulent (re)découvrir cette bande dessinée car il regroupe quelques-unes des meilleures histoires de Pierre Tombal.

Un sergent bête et en quête de gloire, un acolyte un peu plus malin, mais lâche, se trouve entraînés dans la guerre de sécession, au sein de la cavalerie ! Drôle, et plutôt destiné à la jeunesse.

Un sergent bête et en quête de gloire, un acolyte un peu plus malin, mais lâche, se trouve entraînés dans la guerre de sécession, au sein de la cavalerie ! Drôle, et plutôt destiné à la jeunesse.

Un sergent bête et en quête de gloire, un acolyte un peu plus malin, mais lâche, se trouve entraînés dans la guerre de sécession, au sein de la cavalerie ! Drôle, et plutôt destiné à la jeunesse.

Un sergent bête et en quête de gloire, un acolyte un peu plus malin, mais lâche, se trouve entraînés dans la guerre de sécession, au sein de la cavalerie ! Drôle, et plutôt destiné à la jeunesse.